Jeunes années
les années quatre-vingt-quinze, je sortais peuquand je sortais, c’était, oui, pour voir le beau sexecelui qui m’attirait et m’effrayait un peudevrais je me laisser faire, pas qu’il se vexe la ville la nuit, et ces hommes tous en feuen fait j'avais très peur il fallait du latexla maladie grondait, tuait les amoureuxl'ombre planait, baiser devenait […]